Animaux à sang froid

La reproduction de ma salamandre ou de mon triton

Distinguer un triton ou une salamandre mâle d’une femelle constitue le premier pas vers la victoire en matière de reproduction. Le printemps est la période qui s’y prête le mieux, car c’est alors que la différence entre les sexes est la plus marquée. Les tritons mâles, par exemple, deviennent bien plus colorés et développent souvent une crête proéminente le long de leur dos. Les femelles enflent sous l’effet des œufs et prennent un aspect plutôt massif, comparées à leurs compagnons. A cette époque, vous pouvez également les examiner par en dessous dans un récipient transparent afin de comparer la zone de leur cloaque respectif : elle est nettement plus gonflée chez le mâle qui, dans le cas des salamandres, présente également des renflements sur les pattes antérieures, semblables aux pelotes nuptiales des crapauds et des grenouilles. Au printemps, ces amphibiens font montre de toute une gamme de comportements de parade. Par exemple, le triton mâle suit de près la femelle, remuant souvent l’eau avec sa queue ; il dégage ainsi une odeur incitant sa compagne à la reproduction. Puis il libère un paquet de spermatozoïdes, ou spermatophore, que la femelle ramasse et introduit dans son cloaque. Elle pond ensuite ses œufs au milieu d’une végétation aquatique, après quoi elle s’en désintéresse totalement. A cette étape, retirez les œufs avant qu’ils n’éclosent ou les adultes risqueraient de manger les têtards. Le groupe des salamandres présente une plus grande variété de comportements nuptiaux. Ainsi, certains individus s’accouplent directement et beaucoup font preuve de soins attentifs envers leurs œufs, la femelle leur tenant compagnie jusqu’à l’éclosion. Si la plupart des salamandres pondent dans l’eau, certaines le font sur la terre ferme. Renseignez-vous sur les habitudes de l’espèce que vous possédez. observation Il est possible d’observer le développement du têtard à travers l’œuf. Le jeune naît avec des branchies duveteuses qui lui permettent d’extraire l’oxygène de l’eau. Comme les tritons pondent durant plusieurs semaines, il est important de regrouper les petits par âge afin de minimiser les risques de cannibalisme. La qualité de l’eau est vitale pour eux. Chaque semaine, renouvelez 25% du volume avec de l’eau non chlorée, laissée une journée à température ambiante. Pour leur croissance, les jeunes ont besoin de petits animaux vivants en guise de nourriture. Lorsqu’ils commencent à ressembler à des adultes miniatures, baissez le niveau de l’eau et laissez-les gagner la terre ferme. Prévoyez une plate-forme ainsi que du substrat humide et mousseux, cachette idéale pour les jeunes amphibiens tout juste sortis de leur milieu aquatique. A mesure que vous leur offrez de petits animaux terrestres vivants, ils devraient grossir rapidement. Pour les axolotls, tout changement d’environnement est inutile ; cependant, offrez-leur davantage d’espace au fur et à mesure de leur croissance.

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La reproduction de mon lézard

Ce sont les petites espèces de lézards qui offrent généralement les meilleures perspectives en matière de reproduction en vivarium, tout simplement parce qu’elles ne nécessitent pas d’abris spacieux, contrairement aux iguanes verts, par exemple. Si de nombreuses caractéristiques permettent de distinguer le sexe en fonction des espèces, certaines règles générales s’appliquent également. Le mâle est souvent de couleur plus claire que la femelle et doté d’une crête ou d’une ornementation sur la tête, absente chez sa compagne. Pour les geckos, il suffit généralement d’examiner les parties inférieures, dans un récipient à fond transparent par exemple : si les pores fémoraux, qui s’étendent le long des pattes arrière, sont bien visibles, il s’agit d’un mâle. Dans de nombreux cas, il est nécessaire de séparer les lézards mâles, à l’instinct de territoire très développé. Même en l’absence de conflit ouvert, l’individu le plus faible risque d’être brutalisé au point de voir son état se détériorer. Sa croissance se trouvera fortement ralentie s’il ne peut bénéficier de sites favorables pour lézarder ni de choix en matière d’alimentation. Comme pour les serpents, un rafraîchissement durant l’hiver, puis une augmentation de température au printemps permettront de déclencher la reproduction des lézards originaires des régions tempérées. Dans certains cas, d’autres facteurs, hygrométrie accrue pour les espèces des forêts humides ou séparation des couples durant quelque temps, auront également un impact décisif. Parade amoureuse La plupart des lézards se lancent dans une parade amoureuse, incluant oscillations de tête et autres mouvements analogues. L’accouplement en lui-même est parfois assez agressif, le mâle s’agrippant par les dents à la peau du cou de la femelle. Quelques écailles peuvent tomber, mais cet exercice ne se solde pas par d’importantes blessures. Quelques lézards, notamment certains caméléons, donnent naissance à des petits vivants, mais la majorité pondent des œufs. La composition des coquilles, parcheminées ou en calcaire dur, influence leur mode d’incubation. Le corps de la femelle enfle à mesure que les œufs se développent. Après la ponte, certaines mères tentent de dissimuler les œufs tandis que d’autres, à l’image des geckos, les rassemblent soigneusement autour d’elles. Un simple coup d’œil sur votre protégée vous indiquera si elle a pondu ou non : dans le premier cas, elle mincit considérablement. Incubateur Placez les œufs dans un incubateur, où ils devraient théoriquement éclore dans des conditions optimales. De la vermiculite humide, disponible en jardinerie, permet souvent d’accélérer ce processus, mais veillez absolument à ce qu’elle ne se dessèche pas. Les coquilles parcheminées pourront absorber l’eau ainsi fournie durant la période d’incubation. En revanche, celles des geckos, dures, n’ont pas besoin de vermiculite. Là encore, la durée d’incubation n’étant pas identique pour tous les œufs, d’une même couvée, ne vous hâtez pas de les jeter ; elle nécessite entre cinq et dix semaines, ou parfois davantage. La température joue un rôle décisif chez un grand nombre d’espèces car elle influence le sexe des nouveau-nés. Vous devrez vous livrer à quelques essais, en maintenant la température aux environ de 30°C. A mesure que les œufs éclosent, placez les jeunes dans un abri spécifique. Dans un premier temps, comme ils digèrent les restes de leur membrane vitelline, ils n’ont pas besoin de nourriture. Mieux vaut prévoir un vivarium séparé pour les lézards vivipares ; sinon, leurs parents risquent de s’attaquer à eux. Quoi qu’il en soit, éclairage suffisant et régime équilibré sont essentiels à leur bon développement.

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La reproduction de ma tortue

Chez la plupart des tortues terrestres et aquatiques, l’observation de l’arrière-train permet d’identifier facilement le sexe. Généralement, les mâles possèdent une queue plus longue que celles des femelles et leur orifice génito-anal est plus éloigné de la base de la queue. Dans certains cas, la partie inférieure de leur carapace est plus incurvée, notamment chez les individus terrestres, ce qui les aide à se poser en équilibre sur celle de la femelle durant l’accouplement. Certaines espèces présentent d’autres indices spécifiques, tels que de longues griffes antérieures chez les mâles à tempes rouges (trachemys scripta elegans) et les espèces apparentées. Chez les chéloniens, faire sa cour peut prendre la forme d’une entrevue agressive. Dans le cas des tortues terrestres, le mâle a tendance à mordiller les pattes de la femelle pour la ralentir, puis il frappe sa carapace par l’arrière avant de grimper dessus lorsqu’elle est à l’arrêt. Les espèces aquatiques ont des manières plus douces : ainsi, le mâle à tempes rouges remue l’eau devant la tête de la femelle à l’aide de ses griffes. Toutefois, au moment de l’accouplement proprement dit, il se met à mordre les plis cutanés en haut du cou de sa compagne pour se stabiliser. Les blessures graves sont peu probables mais, si une telle attitude persiste, séparez les chéloniens quelque temps afin d’éviter le harcèlement incessant de la femelle par son promis. Une fois l’accouplement terminé, elle est en mesure de pondre des œufs fertilisés pendant plus d’un an sans copuler. Les œufs Tous les chéloniens se reproduisent par l’intermédiaire d’œufs à coquille dure. Comme ils les enterrent dans le sol ou le substrat, prévoyez un plateau recouvert de sable dans le vivarium. A l’occasion, les tortues aquatiques pondent dans l’eau et, à condition que les œufs ne soient pas abîmés, il n’y a aucune raison pour qu’ils n’éclosent pas. Chez les tortues terrestres, la femelle est de plus en plus agitée à mesure que le moment approche ; l’après-midi, elle passe un certain temps à édifier son nid. Ne la dérangez pas dans cette activité, attendez qu’elle ponde, puis recouvrez le nid. Elle se désintéressera alors de sa progéniture. Généralement, il faut placer les œufs dans un incubateur avant leur éclosion, tout au moins dans le cas de ponte au grand air. Une truelle de jardinage vous permettra de creuser le sol avec précaution pour atteindre les œufs. Soulevez-les doucement, en prenant soin de ne pas les retourner, et posez-les en conservant leur position. Incubation Il existe plusieurs méthodes d’incubation pour les œufs de chéloniens. Nombre d’éleveurs choisissent de les placer dans un incubateur en les entourant de vermiculite humide, dont ils maintiennent la surface moite. Les coquilles se décolorent durant cette période, mais ce phénomène n’affecte en rien leur possibilité d’éclosion. Les recherches actuelles prouvent incontestablement que le sexe de beaucoup de chéloniens dépend de la température d’incubation, bien qu’aucune règle ne prévale à cet égard (tout dépend de l’espèce). Quoi qu’il en soit, maintenez une température constante d’environ 29°C avec une humidité relative de 75 à 80%. La période d’incubation est variable. A l’approche de l’éclosion, le jeune commence à percer sa coquille à l’aide de la dent de l’œuf, une excroissance temporaire sur sa tête qui disparaîtra peu après. Une fois sorti de son œuf et durant les premiers jours de sa vie, il se nourrit des restes de sa membrane vitelline, visible sur la partie inférieure de sa carapace. Il commence ensuite à chercher sa propre alimentation. Durant cette phase précoce, ne laissez pas les chéloniens aquatiques accéder à l’eau car ils ne sont pas encore des nageurs très aguerris.

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la reproduction de mon serpent

En matière de reproduction, les serpents se divisent en deux catégories : beaucoup pondent des œufs, mais d’autres, boas ou serpents jarretières, donnent directement naissance à des petits vivants. Toutefois, contrairement aux mammifères, ces derniers ne se nourrissent pas dans l’organisme de leur mère : ils se développent en fait dans des œufs, qui écloront juste au moment de la naissance. L’une des principales difficultés consiste à différencier le mâle de la femelle, d’aspects très proches. Toutefois, examinée de près, la queue des mâles adultes se révèle souvent bien plus longue et légèrement gonflée au niveau du cloaque, en raison de la présence des deux organes copulateurs, ou hémipénis. Quoi qu’il en soit, demandez toujours à votre vétérinaire de procéder à un examen interne, afin de confirmer le sexe de votre protégé. L’accouplement Un grand nombre de facteurs intervient dans la reproduction des serpents en vivarium. Tout d’abord, les individus doivent être en bonne santé et matures. D’autres facteurs externes sont également essentiels : dans le cas des espèces des climats tempérés, prévoyez une période “d’hibernation” plus fraîche de deux ou trois mois. Puis augmentez la température et l’intensité de la lumière pour simuler le début du printemps. Après une courte période, réunissez le mâle et la femelle. Vous devriez rapidement constater des signes de parade amoureuse, le mâle poursuivant sa compagne dans le vivarium et s’entortillant autour d’elle. Elever les jeunes serpents Les espèces donnant directement naissance à des petits vivants requièrent relativement peu de soins. La femelle gravide passera beaucoup de temps sous la source de chaleur du vivarium. Quant aux autres espèces, elles chercheront une zone appropriée pour y pondre leurs œufs. A cet égard, de la sphaigne humide conviendra parfaitement. les œufs sont semi-perméables et leur coquille présente une texture parcheminée plutôt que dure. Placez-les sur une surface stérilisée, telle que la vermiculite humide (mais non détrempée) conservée dans un récipient en plastique faisant office d’incubateur. Evitez absolument qu’elle se dessèche et laissez les œufs en contact direct avec elle afin qu’ils puissent en absorber l’eau. Maintenir le récipient couvert durant l’incubation permet de ralentir le degré d’évaporation et de réduire les risques de dessèchement des œufs. Sinon, les petits risquent de mourir. Normalement l’éclosion se produit au bout de deux à trois mois si les œufs ont été maintenus à 28°C environ ; toutefois, la durée d’incubation n’étant pas fixe, ne vous débarrassez pas trop précipitamment d’une couvée dont l’éclosion n’a pas encore débuté. Lorsqu’ils commencent à émerger des œufs, les jeunes peuvent cohabiter quelque temps car ils ne se nourriront pas avant leur première mue. Après quoi, il est nécessaire de les séparer en raison des risques de cannibalisme. Des boîtes en plastique ventilées constitueront des logements appropriés. Servez-leur des dépouilles de souriceaux d’un jour.

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La reproduction de ma grenouille ou mon crapaud

S’il est théoriquement possible d’identifier le sexe des grenouilles et des crapauds en fonction de leur corpulence, cette tâche reste malaisée en pratique, sauf si vous êtes sûr que vos protégés sont à peu près du même âge. Sinon, l’un des deux peut tout simplement être un individu du même sexe mais plus jeune. A l’approche de la parade, le sexe se distingue plus facilement. Les mâles développent des pelotes copulatrices, sortes de renflements sur les pattes antérieures et souvent sur les doigts. Ils présentent également des pigments sombres ainsi qu’une peau ridée et lâche au niveau de la gorge, qu’ils gonflent lors de la parade nuptiale tandis qu’ils émettent leurs chants. Même si vous possédez un couple, sachez que la reproduction n’est pas obligatoirement assurée. A cet égard, la préparation est essentielle. Dans la nature, un grand nombre de changements se produisent dans l’environnements des amphibiens, stimulant chez eux le processus de reproduction. Ainsi, dans le cas des espèces des régions tempérées, la température est un déclencheur décisif, qu’il convient de diminuer dans le vivarium durant l’hiver. Chez les anoures des régions tropicales, où la température reste constante tout au long de l’année, les stimuli de reproduction sont davantage liés aux changements hygrométriques. Assécher légèrement le vivarium quelques semaines avant d’augmenter à nouveau le degré d’humidité devrait déclencher le comportement reproducteur . Quoi qu’il en soit, il importe avant tout que les amphibiens soient en bonne santé. Dans certains cas, on utilisera, mais toujours avec circonspection, des hormones artificielles afin de conditionner les batraciens à la reproduction. la ponte A l’approche de la ponte, les batraciens passent davantage de temps dans l’eau, où la femelle déposera ses œufs. Normalement, ceux-ci sont alors fertilisés de manière externe par le mâle, qui s’agrippe à la femelle avec ses jambes dans une étreinte nommée amplexus. Quelques espèces pondent sur la terre ferme. La rainette aux yeux rouges, elle, attache ses œufs sur une feuille pendant au-dessus de l’eau : une fois libres, les têtards tombent dans la mare où ils poursuivent leur développement. Le nombre d’œufs varie considérablement, d’une dizaine à plusieurs centaines, dans ce dernier cas, seule une petite partie de la progéniture survivra. La substance gélatineuse et transparente entourant les œufs permet de protéger des moisissures les têtards en développement, jusqu’à l’éclosion. Toutefois, au milieu d’œufs au développement normal, il arrive que certains autres, non fertilisés, subissent une attaque fongique. Généralement, il est inutile de les traiter mais, une fois les têtards sortis, retirez ceux qui n’ont pas éclos. Pour commencer, les nouveau-nés, inertes, ingèrent les restes de leur membrane vitelline. Au bout de quelques jours, ils commencent à nager et se nourrissent de minuscules particules présentes dans l’eau. l’espace Il est important de leur fournir quantité d’espace au fur et à mesure de leur croissance, notamment pour réduire les risques de cannibalisme (les têtards deviennent davantage carnivores en grandissant). A cette étape, des flocons de poissons constituent un complément précieux à leur régime ; par ailleurs, ils pollueront moins l’eau que la viande crue. La qualité de l’eau étant vitale, renouvelez-la partiellement à mesure que les têtards grandissent. Progressivement, leurs pattes se développent, de même que la forme de leur corps et leur queue commence à rétrécir. Prévoyez une zone rocheuse où les jeunes pourront se hisser hors de l’eau à mesure que leurs poumons commenceront à fonctionner. Peu après, transférez-les dans un aqua-terrarium, doté d’une zone de terre ferme pour se promener et d’un point d’eau facilement accessible. De petits invertébrés doivent à présent constituer la base de leur régime.

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Les espèces de serpents

Parmi les serpents les plus populaires et les plus répandus en captivité figurent des individus petits et hauts en couleur, ce qui n’est guère surprenant. Le serpent jarretière   Le serpent jarretière (thamnophis sirtalis), reptile le plus courant en Amérique du Nord tire son nom de son aspect filiforme. Ses besoins sont bien spécifiques : en été, il nécessite une température de 25° C environ, qui peut descendre à 15° C au minimum en hiver ; de telles variations permettent d’imiter les changements qui se produisent dans son habitat naturel. Vous pourrez ensuite augmenter progressivement la température du vivarium. Si cette espèce vit souvent dans des zones aquatiques, sachez toutefois que le substrat du vivarium doit absolument rester sec. Prévoyez un grand récipient d’eau dans lequel le reptile s’immergera sans inonder les alentours (l’humidité risque de déclencher des infections cutanées). Pour le maintien de sa santé, un régime alimentaire approprié s’impose. Les aliments tout prêts, vendus dans les boutiques spécialisées, sont en général bien équilibrés.   Le serpent de lait   Dans la nature, les couleurs vives sont généralement synonymes de danger, un fait qu’a su exploiter le serpent de lait (lampropeltis triangulum), dont l’aspect ressemble étroitement à celui du serpent corail mortel (espèce micrurus). Les formes naturelles de cet individu varient. Ainsi, les sous-espèces d’Amérique centrale arborent des couleurs bien plus voyantes que celles originaires d’Amérique du Nord. Lors de l’éclosion des œufs, leurs nouveau-nés sont également plus grands, se nourrissant aisément de dépouilles entières de souris d’un jour. Les couleuvres tachetées d’Amérique centrale, originaires des régions équatoriales, doivent vivre dans un environnement légèrement plus chaud.   Le serpent des blés   Aujourd’hui, le serpent des blés (elaphe guttala) existe en un grand nombre de variations de couleurs ; l’espèce blanche, notamment, se fond dans son habitat naturel. Mais, généralement, il arbore plutôt une tonalité rouge, orange ou grise ainsi que des marques rouges ou orange. Il s’adapte très facilement et son élevage constitue une très bonne introduction au monde des serpents. Il atteint sa maturité à l’âge de 2 ans.   Le serpent ratier Si les serpents ratiers les plus courants dans le commerce proviennent d’Amérique du Nord, des espèces asiatiques existent également. Jeunes et adultes diffèrent souvent en termes de teintes. Par ailleurs, des mutations de couleur ont fait leur apparition, comme la couleuvre obscure (elaphe o. obsoleta) noire. Si les jeunes individus, aux motifs grisâtres, s’apprivoisent aisément et grandissent rapidement, les adultes non habitués aux manipulations risquent en revanche de rester sauvages. Parfois arboricoles, ils apprécieront des possibilités d’escalade. autre sous-espèce populaire, l’Elaphe o. quadrivittala présente des bandes sombres sur une tonalité jaunâtre à l’âge adulte. Il s’agit d’un proche parent du ratier des Everglades (E o. rossalleni), de teinte orangée.

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