Les poissons

Maladies fréquentes chez le poisson

Maladies fréquentes chez le poisson

Les ascites On ne peut guérir toutes les pathologies dont souffrent les poissons ; ainsi, il est particulièrement difficile de remédier aux ascites, répandues chez les poissons rouges. Les individus affectés présentent un abdomen gonflé qui les gêne pour nager. Tous les cas ne semblent pas d’origine infectieuse, mais un poisson malade perd invariablement son appétit et, s’il s’agit d’une infection, sa mort s’ensuivra rapidement. Les ascites résultent souvent d’une maladie bactérienne. Toutefois, cette pathologie ne parais pas très contagieuse et elle atteint rarement des proportions épidémiques. La tuberculose des poissons Cette maladie bactérienne, sans doute la plus grave qui frappe les poissons, peut se propager à l’homme. Les symptômes ne sont pas bien définis, mais yeux exorbités, perte de poids et mortalité généralisée dans un aquarium peuvent en indiquer la survenue ; seule une autopsie pourra confirmer les suspicions. Si, par mesure générale de précaution, il est toujours plus prudent de porter des gants en caoutchouc lorsque vous vous occupez de vos animaux, ils vous protégeront également efficacement contre la tuberculose des poissons. Cette maladie entraîne une infection cutanée bien désagréable chez les hommes, généralement au niveau des mains lorsque celles-ci ont été en contact avec l’eau. Quoi qu’il en soit, il existe un traitement. Les autres pathologies Les yeux exorbités constituent un trait caractéristique de certaines espèces, notamment quelques variétés de poissons rouges telles que le télescope. Dans d’autres cas, ils peuvent indiquer une pathologie ou une blessure, en particulier si un seul œil est touché. Habituellement, aucun traitement ne peut guérir ce problème, aux conséquences souvent mortelles. Il en va de même pour la maladie de la vessie natatoire, qui empêche l’individu de nager correctement. Les poissons rouges d’agrément sont particulièrement exposés à cette affection, susceptible de leur faire perdre leur flottabilité. Chez les individus tropicaux, elle est fréquemment liée à un âge avancé. La constipation constitue un autre problème, toutefois moins grave. Vous pourrez la diagnostiquer si vous observez un long chapelet d’excréments semblable à un fil de coton, traînant sous la partie inférieure du poisson. Elle est généralement due à une alimentation constituée uniquement de nourriture déshydratée. Offrir un menu plus varié, comportant des créatures vivantes en fonction du type de poisson, devrait favoriser la résolution de ce désagrément, tout comme l’ajout de végétaux frais dans le régime des espèces végétariennes. La mort subite Constater la mort soudaine de la plupart des occupants d’un aquarium, voire de tous, constitue sans doute l’une des situations les plus inquiétantes qui soient. Un tel événement peut avoir une cause environnementale plutôt que résulter d’une affection. Dans la composition de l’eau, guettez les signes de changements soudains de la concentration en substances chimiques. Dans tous les cas, renouvelez sans tarder un quart du volume de l’eau, afin de stabiliser l’état de santé des poissons restants. Vérifiez le fonctionnement des équipements de l’aquarium : il se peut que le système de filtration soit défaillant ou que le dispositif de chauffage couplé au thermostat se soit arrêté, vous le saurez rapidement jetant un coup d’oeil sur le thermomètre. Une baisse de la température de l’eau due à une coupure de courant est bien moins ennuyeuse. Une fois l’électricité rétablie, elle remontera progressivement. L’empoisonnement par une source extérieure à l’aquarium constitue une autre possibilité de mort soudaine. Un grand nombre de produits courants pour la maison, tels que les insecticides vaporisés sur les plantes domestiques ou les préparations anti-puces pour vos animaux de compagnie, sont potentiellement mortels pour vos poissons. Ils atteignent l’eau par le biais de la pompe à air. N’utilisez jamais ces produits dans une partie quelconque de votre habitation, ou près d’un bassin, s’ils risquent de nuire indirectement à vos protégés.

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La santé de mes poissons

La santé de mes poissons

Comme les poissons vivent habituellement en groupe, il est important de transférer les individus malades dans un logement séparé, afin de préserver la santé des autres dans la mesure du possible. Vous obtiendrez des traitements efficaces contre de nombreuses maladies auprès des boutiques spécialisées en aquariophilie. Vous pouvez certes utiliser ses produits chez vous, mais veillez à vous conformer rigoureusement aux instructions du fabricant. Nombre des maladies communes susceptibles d’affecter les poissons peuvent être mises sur le compte d’une eau de mauvaise qualité, qui les expose au développement d’infections. Les individus récemment acquis sont les plus vulnérables, notamment ceux aux écailles ou aux nageoires endommagées durant leur emménagement, car les champignons et les bactéries nocives pénètrent alors plus facilement dans leur organisme. Le risque existe bel et bien d’introduire des maladies dans un aquarium aménagé de longue date lors de l’ajout de nouveaux arrivants (par exemple si l’eau de leur ancien bac était contaminée). Durant les deux premières semaines, il vaut mieux donc utiliser un bac d’isolation, afin de vérifier que vos protégés dernièrement acquis sont en bonne santé et se nourrissent correctement. Aujourd’hui, nombre des aliments spécialement formulés renferment de la vitamine C, susceptible de dynamiser le système immunitaire des poissons à ce stade. La maladie Si vous possédez un animal malade, vous convertirez simplement un bac d’isolation en bac hôpital. Dès que possible, retirez le poisson de l’aquarium principal afin d’éviter la contamination des autres et d’améliorer ses chances de guérison. Si les symptômes varient en fonction de la pathologie, perte de couleur et d’appétit et difficulté à nager sont les plus courants. Dans le cas de maladies parasitaires, les signes sont souvent manifestes. Ainsi, sangsue et vers, ancre adhérente à l’organisme du poisson, provoquant fréquemment des irritations au point que l’individu se frotte contre la rocaille. Ne les arrachez pas directement : la blessure en résultant risquerait fortement d’être infectée par des fongus. Ces organismes sont particulièrement courants chez les poissons d’eau douce. Le parasite Le parasite, communément connu sous le nom de point blanc, ou “ich”, d’après son nom scientifique, ichtyophtirius multifiliis, peut toucher n’importe quel poisson et se propager très rapidement au sein de l’aquarium ; en effet, les points blancs de chaque individu renferment des milliers de cellules filles microscopiques, libérées dans l’eau du récipient ou du bassin. Comme ces cellules n’en sont qu’à un stade intermédiaire de leur cycle de développement, la séparation des poissons devrait diminuer les risques de propagation de l’infection. Il existe des traitements permettant de tuer les cellules nageuses à ce stade, avant qu’elles ne parviennent à pénétrer en creusant dans l’organisme des poissons. Parasite analogue qui touche les poissons marins, oodinium provoque la maladie du velours. La survenue de l’affection est souvent favorisée par un niveau de nitrites élevé dans l’aquarium. Non traité, le poisson s’affaiblit et finit par succomber au fongus, notamment s’il s’agit d’un individu d’eau douce, car les spores fongiques sont omniprésentes dans l’eau. Dans des conditions normales, votre protégé aura suffisamment de vigueur pour lutter contre cette infection, mais surveillez les nageoires endommagées, telles que les individus d’eau froide en bassin extérieur, parce que leur système immunitaire ne fonctionne plus aussi bien durant les épisodes froids. Symptômes Les symptômes d’une infection de ce type dépendent non seulement de la région affectée du corps, mais également du type de fongus. Dans certains cas, on observe un effet de halo ou bien l’excroissance fongique apparaît sous la forme de fibres cotonneuses. Procédez au traitement dans un bac séparé, en appliquant un remède pharmaceutique. Un filtre à éponge est préférable et il est aussi essentiel d’être prudent lorsque vous traitez des individus dans un bac comportant des invertébrés ; si les remèdes à base de cuivre sont profitables aux poissons, ils risquent en revanche de tuer leurs compagnons.

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les soins pour mes poissons marins

Les soins pour mes poissons marins

Un certain temps est nécessaire pour que le système de filtration atteigne son efficacité maximale. C’est pourquoi, durant les deux premiers mois, il vaut mieux se limiter aux poissons tolérant les nitrites : le niveau de ces derniers risque, à ce stade, d’augmenter considérablement, jusqu’à l’apparition des bactéries capables de les convertir en nitrates, dans le cadre du cycle de l’azote. Si vous nourrissez trop vos protégés, le niveau de pollution résultant de la décomposition des restes sera également en hausse. Les récifs coralliens constituent un environnement stable ; les poissons marins originaires des régions qui en comportent doivent donc évoluer dans une eau présentant une composition analogue. En raison de la chaleur dégagée par l’éclairage, notamment, le contenu du réservoir s’évapore partiellement et la concentration en sel augmente alors. Procédez absolument à des contrôles réguliers à l’aide d’un hydromètre et ajoutez de l’eau déchlorée dans l’aquarium afin de corriger cette concentration en cas de besoin. Les tests de l’eau Il est aussi nécessaire de vérifier d’autres aspects relatifs à la composition de l’eau, tels que le niveau des nitrites et le pH. Utilisez une pipette pour procéder à des prélèvements dans l’aquarium. À l’aide d’un kit de test, comparez le changement de couleur de votre échantillon avec le graphique fourni, afin de déterminer le résultat. Si le pH passe en dessous de 8.0 vous devrez renouveler un quart du volume de l’eau, en vérifiant également sa densité spécifique. Le niveau des nitrites donne une bonne indication de l’efficacité du système de filtration et, à cet égard, un ensemencement du bac peut se révéler utile : il atteindra tout d’abord un pic d’environ 15 parties par millions (ppm) pour retomber à zéro, confirment ainsi la transformation des composants chimiques en nitrates. Surveillez les poissons introduits les premiers dans l’aquarium, susceptibles de présenter les symptômes d’une infection parasitaire du nom de maladie du velours, provoquée par un taux élevé de nitrites.

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les soins pour mes poissons d'eau douce

Les soins pour mes poissons d’eau douce

Dans la mesure du possible, laissez les éléments de l’aquarium se mettre en place durant quelques jours, avant d’y intégrer les poissons. Ainsi, vous pourrez régler la température de l’eau et vous assurer que le système de chauffage fonctionne correctement (à cet égard, on fixe généralement un thermomètre digital à l’extérieur du bac). L’emménagement Après avoir fait l’acquisition d’un poisson, rapportez-le chez vous aussi vite que possible et, pendant une quinzaine de minutes, laissez flotter, à la surface de l’aquarium, le sac dans lequel il a voyagé ; ainsi, la température remontera et le poisson sera moins nerveux une fois lâché dans sa nouvelle demeure. Il est déconseillé de verser poisson et eau du sac directement dans l’aquarium, car vous risquez d’introduire ainsi des parasites, tels que ceux de la maladie des points blancs, éventuellement présents dans le sac. Attrapez plutôt le poisson à l’aide d’une épuisette et transférez-le dans l’aquarium, puis jetez le sac. Les boutiques d’aquariophilie proposent de telles épuisettes dans toute une gamme de tailles. Avec cet accessoire, le plus simple est généralement d’attraper votre compagnon par en dessous. Par mesure de précaution, placez votre main au-dessus de l’ouverture de l’épuisette afin d’empêcher le poisson de sauter au-dehors, puis plongez-le dans l’eau. La méthode la plus aisée et la plus fiable consiste à attraper les individus un par un. Une fois dans l’aquarium, laissez-les sortir d’eux-mêmes de l’épuisette. Certains, tels que les loches, possèdent des épines qui se coincent parfois dans les mailles. Habituellement, ces poissons parviennent facilement à se libérer seuls en se tortillant, mais vous pouvez les aider en retournant l’épuisette, de manière à les faire sortir. Évitez de les manipuler directement, en tout cas avec des mains sèches, car vous risqueriez d’endommager le mucus recouvrant leur corps. Dans un premier temps, éteignez les lumières et laissez le poisson s’installer pour la nuit. Vous pourrez commencer à le nourrir le jour suivant.

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l'aménagement d'un aquarium marin

L’aménagement d’un aquarium marin

  Tous les équipements utilisés dans un aquarium marin doivent impérativement être en verre ou en plastique, et non en métal, susceptible de se corroder sous l’effet de l’eau salée. Le décor de l’aquarium Par rapport aux installations d’eau douce, un aquarium marin paraît plutôt vide. Il est recommandé d’utiliser un système de filtration sous gravier, recouvert d’une couche épaisse de coquilles de coques servant de lit filtrant, puis d’une autre de sable corallien. Là encore, vous devrez intégrer des éléments décoratifs constituant des refuges adéquats pour vos protégés ; ils serviront également à toute une gamme d’invertébrés qui, cachés, ne risqueront pas d’être blessés par les poissons. On conseille généralement l’ajout de “pierres vivantes”, c’est-à-dire d’une rocaille abritant tout un ensemble d’invertébrés bien établis. Ne l’incorporez que lorsque l’installation fonctionne correctement. Lors de l’aménagement de l’aquarium, veillez à conserver une vue dégagée sur les poissons, en regroupant les décorations vers l’arrière et sur les côtés. Outre la rocaille, vous pouvez ajouter au décor des roches calcaires, dont la structure meuble comporte quantité de coins et de recoins où les invertébrés pourront s’établir. Vérifiez que les roches utilisées n’affecteront pas le pH de l’eau ; il doit rester alcalin, c’est-à-dire entre 8,0 et 8,4. L’eau Une fois le décor en place, remplissez le bac d’eau. Celle-ci doit absolument être froide, afin d’éviter d’introduire du cuivre, potentiellement toxique, notamment pour les invertébrés. Dans un seau en plastique, versez un certain volume d’eau, puis ajoutez un certain volume d’eau, puis ajoutez la quantité recommandée de sel de mer, en vente dans des boutiques spécialisées ; assurez-vous qu’il s’est parfaitement dissous avant de vider cette solution dans le réservoir. Mettez ensuite la pompe à air en marche, afin d’achever la dissolution totale du sel : en effet, ce dispositif, couplé au système de chauffage, contribue à faire circuler l’eau. Vérifiez la concentration du sel dans le liquide en mesurant la densité avec un hydromètre. Pour une lecture fiable, il est nécessaire de confronter le chiffre obtenu à la température de l’eau. Celle-ci doit atteindre environ 25°C, et le résultat final se monter approximativement à 1.023. Sachez qu’après l’aménagement du bac, plusieurs jours sont parfois nécessaires à la stabilisation du milieu. C’est pourquoi il importe de ne pas transférer immédiatement les poissons dans un aquarium marin, mais de le laisser ainsi quelque temps, une semaine par exemple. L’éclairage Si vous souhaitez inclure des invertébrés, tels que coraux et anémones de mer, sachez que l’éclairage au-dessus du réservoir revêt une importance primordiale. Ces espèces renferment souvent des algues vivantes dans leur organisme et ne prospéreront que si la lumière est adéquate, leur permettant de photo-synthétiser et de produire leurs propres nutriments. A cet égard, les boutiques d’aquariophilie proposent des lampes spécifiques de forte intensité, à suspendre au-dessus de l’eau (pour un choix optimal, adressez-vous à un fournisseur spécialisé). Sachez que la lumière bleue, à l’extrémité du spectre, est celle qui offre un bénéfice maximal.

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L'aménagement d'un aquarium pour poissons tropicaux

L’aménagement d’un aquarium pour poissons tropicaux

  Pour un aquarium destiné à accueillir des poissons tropicaux d’eau douce, procédez de la même manière que pour les poissons rouges, en prévoyant un filtre recouvert d’une couche de gravier. Un chauffage sera également nécessaire afin de maintenir la température de l’eau à 25°C environ. Il en existe différentes puissances ; dans un environnement à température ambiante, comptez 100 watts pour 100 l d’eau dans le bac. Le calcul du volume de votre aquarium est simple : multipliez la longueur par la largeur et la profondeur exprimées en millimètres, puis divisez le tout par cent pour obtenir un nombre en litres ; soustrayez ensuite 10 % de ce nombre, afin de tenir compte du volume occupé par le décor, tel que les cailloux. Outre ce lit filtrant, il est recommandé d’utiliser un petit filtre électrique pour favoriser la circulation de l’eau dans l’aquarium. Ce dispositif possède une cartouche en mousse qui attire les particules, les absorbant dans le filtre où les bactéries établies finissent par les décomposer. Vous pouvez recourir à d’autres systèmes, mais vérifiez toujours leur coût : certains, qu’il faut souvent remplacer, se révèlent onéreux à long terme. Ornements Vous pourrez acheter divers éléments d’ornement pour créer un paysage attrayant, notamment si vous fixez une feuille décorative en arrière-plan, à l’extérieur de l’aquarium ; celle-ci renforcera l’impression d’un habitat naturel. Il est possible de cultiver des végétaux variés dans un aquarium pour poissons tropicaux. Pour obtenir le meilleur effet possible, procédez avec méthode. Laissez une partie non plantée en façade, où les poissons pourront nager et seront clairement visibles. Au centre, placez une grosse plante d’aspect impressionnant et de plus petites sur les côtés. Intégrez-les lorsque l’aquarium est à moitié plein ; sinon, elles risquent de se déplacer à mesure que vous verserez l’eau. Il vaut mieux parfois les laisser dans des pots, masqués par le gravier et le décor, afin que leurs racines n’obstruent pas le lit filtrant. Une fois l’aquarium rempli, ajoutez des plantes flottantes. Végétaux vivants Si vous optez pour des végétaux vivants et non en plastique, un bon éclairage se révélera essentiel. Fixez-le dans un étui hermétique afin d’éviter toute condensation, qui affecterait les contacts. De telles ampoules, qui favorisent la croissance des plantes tout en rehaussant le coloris des poissons, sont disponibles auprès des animaleries spécialisées. Vous pouvez intégrer au décor une rocaille adaptée et inoffensive, en vente dans ces mêmes boutiques. Les cailloux doivent être dépourvus de calcium : ce dernier, en se dissolvant dans l’eau, en modifierait sa composition. Vous trouverez également du bois flotté, susceptible de constituer des cachettes supplémentaires pour les poissons. Au préalable, trempez-le dans un baquet d’eau dont vous changerez régulièrement le contenu, afin de retirer le tannin du bois (il confère au liquide une coloration brunâtre). Autre solution : des substituts synthétiques, conçus pour ressembler au bois flotté. Remplissage Lors du remplissage de l’aquarium, versez l’eau doucement, de préférence dans une assiette posée sur le gravier, pour minimiser les perturbations dans le substrat. Traitez l’eau à l’aide d’un conditionneur afin d’éliminer les produits chimiques nocifs, à base de chlore, et de favoriser l’acclimatation des poissons dans leur nouvel environnement. Des bactéries spécifiques ajoutées dans le réservoir pour ensemencer le lit filtrant se révéleront aussi précieuses. Vous pourrez vous les procurer auprès de bonnes boutiques d’aquariophilie. Saupoudrez-les tout simplement dans le bac.

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