Animaux

l'alimentation de ma grenouille ou de mon crapaud

L’alimentation de ma grenouille ou de mon crapaud

Les besoins alimentaires des grenouilles et des crapauds varient au cours de leur vie. Les têtards sont en partie végétariens, tandis que les adultes ont besoin d’un régime à base de toute une variété d’invertébrés et certains grands crapauds sont même capables de manger de petits vertébrés. Les invertébrés   Vous pouvez vous procurer un choix adapté d’invertébrés dans des animaleries, par correspondance ou auprès de fournisseurs répertoriés au dos de publications spécialisées. Les criquets, aliments particulièrement précieux, sont disponibles dans une fourchette de tailles diverses : choisissez celle correspondant à votre amphibien et changez à mesure de sa croissance. Pour améliorer leur valeur nutritionnelle, saupoudrez les criquets d’un complément alimentaire. En raison de leurs mouvements, les criquets attirent l’attention des grenouilles et des crapauds ; sautant et grimpant (contrairement aux vers), ils plairont également aux rainettes, parfois réticentes à descendre jusqu’au sol pour chasser leur nourriture. La seule autre solution pour nourrir vos batraciens consiste à fixer une étagère sur le côté du vivarium et à y placer des aliments à leur portée. La diversité   Il est judicieux d’inclure un peu de diversité dans le régime de votre protégé et de lui fournir un nouveau mets à l’occasion. Les vers sont souvent prisés des crapauds ; si vous les attrapez dans votre jardin, veillez à creuser là où le sol n’a pas subi de traitement chimique. Avant de les proposer à vos grenouilles et vos crapauds, laissez les vers sur l’herbe humide durant deux jours afin qu’ils vident leur tube intestinal. Dans le cas des petites espèces de batraciens, proposez des pucerons verts pour varier ; récoltez-les à l’aide d’un pinceau propre dans les jardins et sur les plantes sauvages. Alimentation de ma grenouille   Les larves de fausse-teigne sont tout particulièrement précieuses pour les animaux dont la santé est précaire, ceux en convalescence, par exemple, car elles présentent une excellente valeur nutritionnelleSi vous abritez plusieurs animaux dans le même bac, vérifiez absolument que tous parviennent à manger correctement et que l’individu dominant ne s’approprie pas l’ensemble de la nourriture. Évitez la suralimentation, éventuellement très nocive, notamment pour les crapauds qui risquent de devenir obèses au bout de quelque temps. Les amphibiens aiment généralement manger, mais sachez que la quantité nécessaire varie en fonction de leur taille et de la période de l’année. Ainsi, les espèces des climats tempérés possèdent un grand appétit lorsqu’elles sortent de leur période d’inactivité hivernale, ayant besoin de remplacer leurs réserves lipidiques consommées au cours de cette période. Les petits vertébrés Avant de proposer des souris d’un jour, vendues surgelées par des fournisseurs spécialisés, vérifiez qu’elles sont parfaitement décongelées. Pour cela, ne vous contentez pas de les plonger dans l’eau chaude, mais prévoyez un laps de temps suffisant. Vous devrez convaincre votre protégé d’attraper cette proie inerte : pour cela, agiter la souris de part et d’autre de sa tête devrait faire l’affaire et l’inciter à bondir, mais prenez garde à vos doigts. Si les amphibiens sont dépourvus de dents, ils peuvent toutefois infliger de douloureuses morsures et, une fois attachés à votre doigt par les mâchoires, sont généralement peu enclins à lâcher prise.     Récolter des aliments vivants Vous compléterez judicieusement le régime de votre protégé à l’aide d’invertébrés, récoltés, si vous y avez accès, dans un jardin ou des sous-bois impérativement non exposés à des produits chimiques toxiques. Ainsi, les pucerons, recueillis sur des roses, se révèlent très précieux pour les amphibiens tout juste métamorphosés. Les vers de terre, également faciles à se procurer, sont souvent prisés des crapauds, de même que des axolotls et des salamandres adultes. Si le sol est desséché, arroser une parcelle permet d’attirer les vers à la surface. L’alimentation de ma grenouille vers de farine s’achètent dans différentes tailles, les mini-vers étant particulièrement prisés des amphibiens et des reptiles de petite corpulence. Les garder au frais permet de ralentir leur développement.

lire plus... »
l'alimentation pour mes tortues

L’alimentation pour mes tortues

Il existe un grand nombre de préparations alimentaires sur le marché, sous la forme de granulés et de bâtonnets. Toutefois, ne modifiez jamais brusquement le régime alimentaire de vos tortues, notamment s’il s’agit d’espèces terrestres. En effet, ces animaux sont très dépendants des bactéries et autres microbes de leur système digestif qui favorisent la décomposition des aliments. Un changement soudain peut alors entraîner une diarrhée mortelle. Introduisez très progressivement les nouveaux aliments, sur une période de deux mois. Les aliments pour tortues terrestres   Les tortues présentées dans ces articles sont avant tout herbivores. Fournissez-leur une grande diversité de végétaux, particulièrement des plantes sauvages telles que feuilles de pissenlit et fleurs ou encore mouron blanc, des oiseaux et produits de culture (luzerne, tomates ou chou). Tandis que la laitue ordinaire ne contient guère que de l’eau, les variétés rouges présentent une valeur nutritionnelle bien supérieure. Offrez toujours les aliments sur un plateau à petits rebords, tels que ceux utilisés pour les plantes, par exemple, afin d’éviter qu’ils ne soient traînés à travers le vivarium et contaminés par le substrat. Généralement, les tortues se nourrissent quotidiennement : ces herbivores mangent toute la journée, se reposant un instant avant de recommencer. Si vous leur servez un régime à base d’aliments frais, il est essentiel de recourir à un complément en vitamines et minéraux spécifiques, notamment pour les jeunes tortues. Alimentation industrielle Si toutefois vous optez pour des aliments industriels, tout complément est inutile et pourrait même se révéler nocif. Lisez attentivement les instructions figurant sur les emballages et, en cas de doute, contactez le fabricant ou demandez conseil à votre vétérinaire. Pour rehausser la sapidité des aliments déshydratés, trempez-les dans un peu d’eau. A la fin de la journée, retirez tous les restes. Vous serez rapidement capables d’évaluer précisément la ration quotidienne nécessaire à votre protégée et éviterez ainsi le gaspillage. Prévoyez un lourd bol d’eau, mais veillez à choisir un modèle dans lequel la tortue ne risque pas de tomber et de se noyer. Chez les adultes, en particulier ceux qui se nourrissent avant tout d’aliments mous, les bords des mâchoires grandissent parfois trop vite ; une intervention vétérinaire est alors nécessaire. Les aliments pour tortues aquatiques   Un bon régime alimentaire est le garant de leur bonne santé. Par le passé, les propriétaires de tortues devaient se contenter de viandes crues et de produits similaires qui, outre leurs carences nutritives, étaient sources d’infection par les salmonelles. Les préparations alimentaires ont par ailleurs l’avantage de ne pas polluer l’eau. Afin d’éviter tout gaspillage, offrez la ration correspondant à l’appétit de la tortue. Généralement, les tortues ne se nourrissent pas sur la terre ferme. Mais il est tout à fait possible de les inciter à manger dans votre main lorsqu’elles sont dans l’eau. Faites attention aux morsures : si les chéloniens ne possèdent pas de dents, les rebords incisifs de leurs mâchoires sont susceptibles de vous pincer douloureusement les doigts.

lire plus... »
l'alimentation de mon serpent

L’alimentation de mon serpent

Tous les serpents sont des prédateurs, la plupart se nourrissant de rongeurs, proies naturelles pour les individus en liberté, et de volailles. Toutefois, vous n’êtes absolument pas obligé d’offrir à votre protégé domestique des aliments vivants : non seulement cette pratique est illégale dans de nombreux pays, mais elle peut également se révéler dangereuse pour le reptile lui-même (un rat, par exemple, risque de l’attaquer). À la place, servez-lui des rongeurs morts, disponibles dans le commerce en différentes tailles, depuis les nouveau-nés d’un jour aux adultes en passant par les jeunes. Si un grand serpent peut ingérer poussins et poulets adultes, une telle nourriture n’est pas satisfaisante sur le plan nutritionnel et ne saurait constituer la part principale de son alimentation. Aliments préfabriqués il existe des aliments soigneusement formulés pour vos serpents, grâce aux saucisses pour serpents, dépouilles de poussins ou de rongeurs deviennent inutiles Les aliments pour serpent Aujourd’hui, il existe des aliments tout prêts qui comblent les besoins de nombreux serpents. Les fournisseurs spécialisés et certaines grandes animaleries proposent des surgelés adaptés. Il vaut mieux acheter des portions individuelles : ainsi, vous ne décongelez que la quantité désirée et évitez le gaspillage. Certaines espèces, notamment les serpents jarretières et leurs proches parents les thamnophis sauritus, se nourrissent souvent de poissons. Préparez-les minutieusement afin que vos protégés ne risquent pas de souffrir d’une grave carence en vitamine B (thiamine), causée par la thiaminase : cette enzyme, présente dans les poissons, détruit la vitamine en question. Un serpent atteint commencera par se tortiller de façon incontrôlée, puis sera frappé de plus graves convulsions encore s’il n’est pas traité d’urgence par un vétérinaire. Par mesure de précaution, chauffez le poisson afin de dénaturer l’enzyme, puis laissez-le refroidir avant de l’offrir au serpent. Il est également recommandé de saupoudrer le poisson d’un produit multivitaminé. Quoi qu’il en soit, la meilleure solution consiste à lui servir l’une des préparations alimentaires formulées pour ce genre de serpent. Pour les espèces se nourrissent d’invertébrés, tels que des criquets, prévoyez un complément alimentaire. Avant l’achat d’un serpent, observez-le si possible en train de manger et renseignez-vous sur son alimentation. Vous pourrez ainsi le ramener chez vous avec la nourriture requise. Dans le cas des aliments surgelés, laissez-les dégeler complètement, de préférence à température ambiante. Vous pouvez utiliser le micro-ondes, mais des cristaux de glace, dangereux pour le serpent, risquent de demeurer dans les aliments. Nourrir votre serpent   Nourrir un serpent, notamment domestiqué, ne pose généralement pas de problème : il vous suffit de déposer la nourriture dans le vivarium. Pour les plus récalcitrants, utilisez une pince à bouts émoussés (vous éviterez de blesser l’animal en cas de contact). Approchez doucement l’aliment de sa tête, afin qu’il happe la nourriture et non votre main. Si les préparations alimentaires sont extrêmement savoureuses, peut-être vous faudra-t-il néanmoins intervenir sur leur odeur avant de les proposer pour la première fois à votre compagnon. Celui-ci se fie énormément à son odorat pour déterminer ce qui est comestible. Frottez donc l’aliment, par exemple une “saucisse” complète pour serpent, ainsi appelée en raison de sa forme, avec une souris morte ou l’un des mets appréciés par votre protégé. Ainsi, vous conférez une odeur familière au nouvel aliment et le rendez acceptable aux yeux du serpent. Une fois qu’il l’aura mangé sans difficulté, vous n’aurez plus besoin de répéter cette procédure.

lire plus... »
l'alimentation de mon rat ou de ma souris

L’alimentation de mon rat ou de ma souris

Les rats ne sont pas difficiles, ils acceptent presque tout ce qui leur convient. C’est justement pour cela qu’une nourriture équilibrée et variée est si importante. Le menu La nourriture doit essentiellement comporter des glucides et contenir un pourcentage de graisse et de protéines plus faible que la nourriture humaine. Nos restes de table ne conviennent pas aux rats, car ils sont le plus souvent trop gras, trop salés et épicés. Soyez attentif aussi à la qualité : la nourriture avariée est juste bonne pour la poubelle. Par ailleurs, les rats, ne “savent” pas ce qui sont bon pour leur santé : ne faites pas d’expériences ! Tout ce qu’ils mangent avec plaisir n’est pas forcément bon pour eux. L’importance des glucides Les céréales contiennent avant tout des glucides et pour cette raison, constituent une alimentation de base appropriée. Les rats doivent toujours en avoir à leur disposition, car ils consomment de petites portions de nourriture réparties tout au long de la journée. La meilleure nourriture de base est un mélange spécial pour rats que l’on trouve en animalerie. La ration est d’une cuillère à soupe par animal et par jour. Dans les grands élevages à but commercial, on nourrit les rats avec des croquettes spéciales contenant tous les nutriments nécessaires. Ne les donnez pas à vos rats, car ils sont monotones.Les petits extras occasionnellement, vous pouvez leur offrir un morceau bien dur de pain suédois ou de pain complet, non moisi bien sûr.De temps en temps, vous pouvez aussi donner du riz ou des pâtes, cuits à l’eau et sans épices. Mais on ne doit pas donner à un rat tous les déchets de table. Les protéines   La proportion de protéines animales dans l’alimentation des rats vivant en liberté varie considérablement. D’une manière très générale, on les qualifie d’omnivores se nourrissant essentiellement de végétaux. Étant donné que dans la nature, les protéines animales ne sont pas d’accès facile, quand on leur en donne, les rats se précipitent dessus. N’en donnez pas trop à vos petits favoris, cela peut leur causer de graves problèmes de santé. Parce qu’ils les aiment beaucoup, ne leur en donnez que comme “friandise”, deux à trois fois par semaine. De petites quantités de crème aigre, de fromage blanc, de yaourt, de fromage doux à pâte pressée (ou occasionnellement un vers de farine) sont très appréciées des rats et suffisantes pour leur santé. Les compléments alimentaires Les os à mâcher pour chiens et les biscuits pour chiens très durs permettent à vos rats de limer leurs incisives, ce qui est une nécessité pour des rongeurs. Mais supprimez alors de la ration hebdomadaire de protéines les petites friandises qui en contiennent, pour éviter une suralimentation. La plupart des rats aiment les rameaux verts d’arbre fruitier (à l’exclusion des fruits à noyaux), de hêtre, de bouleau, d’érable ou de noisetier. Ceux-ci ne doivent naturellement pas avoir été traités, ni salis par des fientes d’oiseaux ou les gaz de pots d’échappement. L’eau Des rats qui reçoivent de la nourriture fraîche, riche en eau, ne boivent guère. Mais il faut tenir à leur disposition de l’eau fraîche, renouvelée chaque jour. Offrez-la leur dans un abreuvoir biberon. Les aliments frais Une nourriture équilibrée pour vos rats comporte aussi des aliments frais, qui leur apportent des vitamines et d’autres nutriments. Les légumes et les fruits   Les rats dédaignent peu de légumes et de fruits. Vous pouvez leur offrir à peu près toutes les variétés que vous aimez manger, vous aussi et peut-être même plus encore. Prenez seulement certaines précautions : La qualité des légumes et des fruits doit être irréprochable. Si c’est possible, choisissez des produits bio, pour éviter les pesticides.Lavez-les à l’eau tiède et séchez-les bien avant de les donner. Si vous leur offrez des agrumes, enlevez très soigneusement les écorces.Évitez de donner en excès certaines sortes de légumes et de fruits qui leur causeraient les mêmes problèmes digestifs qu’aux humains (diarrhée et ballonnements).Ne leur donnez pas de légumes ou de fruits provoquant des ballonnements, comme les choux, les oignons ou les poires mûres. Renoncez à la laitue pommée, qui peut provoquer de sévères diarrhées.Variez la nourriture. Donnez par exemple des légumes qui contiennent beaucoup d’eau comme des tomates ou des concombres, en même temps que d’autres variétés qui en contiennent peu, comme des pommes ou des carottes.N’offrez qu’en petites quantités des fruits très acides comme les agrumes et les kiwis, car beaucoup de rats ne les supportent pas bien, le mieux est d’y renoncer tout à fait.Servez fruits et légumes crus, à l’exception des pommes de terre et des légumes secs qui ne peuvent être donnés que cuits. Les vitamines et les sels minéraux Une alimentation variée et équilibrée rend inutile tout complément de vitamine, de sels minéraux et d’oligo éléments. En donner sans précaution peut même aboutir à une suralimentation. Cela ne s’avère nécessaire que pour des animaux âgés, malades ou des femelles pleines : faites-vous conseiller par le vétérinaire. Celui-ci vous fournira également les préparations appropriées ou vous indiquera celles qui conviennent parmi les offres des animaleries. Il est tout à fait déconseillé d’avoir recours à des préparations vitaminées utilisées en médecine humaine, car leur concentration est le plus souvent trop forte. L’apport de certaines vitamines n’est d’aucune utilité aux rongeurs, parce que, contrairement aux humains, ils les fabriquent eux-mêmes. Un excès de cette vitamine leur ferait plus de mal qu’une carence. Certains rats détestent l’odeur du complexe de vitamines B, au point de refuser par la suite toute nourriture ou eau ayant cette odeur. La quantité de nourriture Comme la quantité de nourriture nécessaire varie et dépend de l’âge, de la taille et des particularités individuelles des rats, il est difficile de donner des indications précises valables pour tous les animaux. La règle est de donner juste assez de nourriture pour que le lendemain, il n’y ait qu’un tout petit reste. Si elle est raisonnablement composée avec peu d’éléments gras, cette ration évitera à vos rats d’engraisser. Et n’oubliez pas de contrôler régulièrement qu’ils n’ont pas enfoui ou caché une partie de leur nourriture dans leur enclos ! Toxique ou indigeste Plantes d’appartement : entre autres agaves, cyclamens, azalées, épine du christ, dieffenbachia, lierre, fougères, anthurium, jacinthes, narcisses, hoya, poinsettia, arum d’Ethiopie. Fruits : entre autres grenades, kumquats, litchis, mangues, papayes, physalis, fruits à noyaux, agrumes. Tous les conifères, en raison des huiles essentielles. À cueillir vous-même Beaucoup de rats se régalent d’herbes médicinales. Celles-ci doivent être propres, et récoltées en dehors des routes à grande circulation, à cause des gaz d’échappement, et des chemins où les chiens vont faire leurs besoins. Les herbes qu’ils apprécient : basilic, aneth, échinacea, pâquerette, bourse-à-pasteurs, camomille, pissenlit, mauve, mélisse, persil, fleur de souci, sauge, achillée, tournesol, mouron des oiseaux.

lire plus... »
l'alimentation de ma gerbille

L’alimentation de ma gerbille

A l’image des autres petits rongeurs, les gerbilles ne sont guère exigeantes en matière de nourriture. Elles mangent essentiellement des graines, de la verdure, des légumes, et parfois quelques invertébrés, par exemple des vers. Cependant, ne leur donnez pas des graines oléagineuses, telles que celles de tournesol, dans de grandes quantités : elles obtiennent les personnes obèses et les nourris avec leur mort. Prévoyez absolument un peu de foin, non seulement pour la litière, mais aussi comme source de fibres complétant leur régime alimentaire. Un bol en terre cuite, difficile à renverser, constitue une mangeoire idéale. Bien que les gerbilles boivent peu, surtout pas de leur donner chaque jour de l’eau fraîche. Fixez solidement l’abreuvoir pour qu’il ne soit pas (les animaux de soutien soutiennent les environnements chauds qui ont lieu chez eux des problèmes respiratoires). Avant d’acquérir une gerbille, renseignez-vous sur son alimentation et ne modifiez pas son régime pendentif les deux premières semaines. Durant cette période, tout changement suscite des troubles digestifs mortels. Offrez-lui des éléments à mordiller pour empêcher ses dents de trop pousser, ou elle risque de ne plus pouvoir s’alimenter normalement.

lire plus... »
l'alimentation de mon hamster

L’alimentation de mon hamster

Les animaleries vendent des prêts pour hamsters, des céréales en grains, des graines de tournesol et des cacahuètes. N’offrez pas les graines oléagineuses en petites quantités : très riches en lipides, elles rendent le hamster obèse si elles constituent l’essentiel de son régime. On trouve également des granulés en vente dans le commerce, mais cette solution tend à être plus onéreuse. Utilisez un petit bol en terre cuite assez lourd en guise de mangeoire et de l’eau potable dans un abreuvoir attaché tout près du refuge du hamster.   Proposez-lui chaque jour des aliments frais, tels qu’un quartier de pomme sucrée ou de la verdure. Pour renforcer son tonus, saupoudrez-occasionnellement de vitamines et de compléments alimentaires adaptés aux petits animaux. N’offrez pas la quantité de nourriture que le hamster peut ingérer, car il risque de transporter dans ses abajoues jusqu’à son nid : d’instinct, les individus sauvages amassent ainsi des aliments pour la constitution d’immenses réserves dans leur tanière, en prévision des périodes où la nourriture se fera rare. Surveiller les aliments frais, sensibles de moisir dans la litière au bout de quelques jours. Retirez-en régulièrement les restes, qui devient alors nuire à la santé du hamster. Dans le commerce, vous trouverez un grand nombre de friandises complétant le régime de votre protégé. Elles seront précieuses pour l’apprivoiser (proposez-le directement dans la main).

lire plus... »